L’État de Ségou et ses chefferies aux XVIIIe et XIXe siècles
Côté cour, côté jardin
À travers l’étude des relations, aux XVIIIe et XIXe siècles, entre le royaume de Ségou (Mali) et ses chefferies périphériques, cet ouvrage livre une contribution majeure à l’histoire et à l’anthropologie politique de l’Afrique de l’Ouest précoloniale.
Éditeur : Presses universitaires de Bordeaux
1ére édition
Collection : Études culturelles
Thème : Sciences humaines et sociales
Auteur(s) : Sow Moussa
Langue : Français
5 illustration(s) N&B
Sortie prévue le 12/01/2022
Prix TTC : 28,00€
EAN : 9791030005769
ISBN : 979-10-300-0576-9
Dimensions : 152 x 231 mm.
Nombre de pages : 300
À travers l’étude des relations, aux XVIIIe et XIXe siècles, entre le royaume de Ségou (Mali) et ses chefferies périphériques, cet ouvrage livre une contribution majeure à l’histoire et à l’anthropologie politique de l’Afrique de l’Ouest précoloniale.
« Ce livre est une contribution majeure à l’histoire et à l’anthropologie politique de l’Afrique de l’Ouest précoloniale, et plus particulièrement au royaume de Ségou pendant les XVIIIe et XIXe siècles. Moussa Sow propose un éclairage nouveau sur le rapport entre le « Centre » du royaume et sa périphérie, notamment sur les chefferies qui ont joué un rôle politique et militaire majeur dans le renforcement de l’État de Ségou.
Cette étude repose sur une enquête de terrain de grande ampleur menée dans cent cinquante villages où ont été recueillies ce que Moussa Sow nomme les « archives diplomatiques ».
«
Ce livre est une contribution majeure à l’histoire et à l’anthropologie politique de l’Afrique de l’Ouest précoloniale, et plus particulièrement au royaume de Ségou pendant les XVIIIe et XIXe siècles. Moussa Sow propose un éclairage nouveau sur le rapport entre le « Centre » du royaume et sa périphérie, notamment sur les chefferies qui ont joué un rôle politique et militaire majeur dans le renforcement de l’État de Ségou.
Cette étude repose sur une enquête de terrain de grande ampleur menée dans cent cinquante villages où ont été recueillies ce que Moussa Sow nomme les « archives diplomatiques ».