The Invention of Love / L’invention de l’amour
Cette pièce offre une réflexion ludique sur la mise en mots du sentiment amoureux. Oscar Wilde revient ainsi d’entre les morts pour dialoguer avec Housman au sujet de « l’amour qui n’ose dire son nom » (l’homosexualité masculine telle qu’elle était désignée à la fin du XIXe siècle).
Éditeur : Presses universitaires du Midi
1ére édition
Collection : Nouvelles Scènes
Thème : Lettres - linguistique et Sciences humaines et sociales
Auteur(s) : Stoppard Tom
Langue : anglais
Traduit par : Drugeon Marianne, Giudicelli Xavier
Sortie prévue le 27/09/2022
Prix TTC : 15,00€
EAN : 9782810712052
Dimensions : 151 x 213 mm.
Nombre de pages : 252
Cette pièce offre une réflexion ludique sur la mise en mots du sentiment amoureux. Oscar Wilde revient ainsi d’entre les morts pour dialoguer avec Housman au sujet de « l’amour qui n’ose dire son nom » (l’homosexualité masculine telle qu’elle était désignée à la fin du XIXe siècle).
The Invention of Love (L’Invention de l’amour), pièce en deux actes de Tom Stoppard mise en scène pour la première fois en 1997, offre une réflexion ludique sur la mise en mots du sentiment amoureux. On y voit Oscar Wilde revenir d’entre les morts pour dialoguer avec A.E. Housman au sujet de « l’amour qui n’ose dire son nom » (l’homosexualité masculine telle qu’elle était désignée à la fin du XIXe siècle). La pièce brosse le portrait d’Housman, philologue et poète (Un gars du Shropshire, 1896), tandis qu’il s’enthousiasme pour l’édition et la traduction de la poésie d’Horace, Catulle, Properce ou Virgile, et dresse le bilan d’une vie d’amour et de poésie. L’œuvre fait écho aux questionnements récurrents de Stoppard quant à notre rapport au passé et au présent.
Cette pièce en deux actes de Tom Stoppard, mise en scène pour la première fois en 1997, offre une réflexion ludique sur la mise en mots du sentiment amoureux. Oscar Wilde revient ainsi d’entre les morts pour dialoguer avec Housman au sujet de « l’amour qui n’ose dire son nom » (l’homosexualité masculine telle qu’elle était désignée à la fin du XIXe siècle). L’œuvre fait écho aux questionnements récurrents de Stoppard quant à notre rapport au passé et au présent.