Mujer e identidad en tierras hispanohablantes
Historia y civilización
Une exploration de la construction sociale de l’identité féminine et une analyse du dialogue entre identité personnelle et identité féminine collective
Éditeur : Éditions de l'Université de Lorraine
1ére édition
Collection : Études pluridisciplinaires
Thème : Sciences humaines et sociales
Sous la direction de : Franceschini-toussaint Marie-élisa, Hanicot-bourdier Sylvie, Torremocha Hernández Margarita
Langue :
Paru le 28/11/2023
Prix TTC : 22,00€
EAN : 9782384510498
Dimensions : 162 x 243 mm.
Nombre de pages : 298
Une exploration de la construction sociale de l’identité féminine et une analyse du dialogue entre identité personnelle et identité féminine collective
Depuis l’étude de la vie des religieuses espagnoles de l’Époque moderne jusqu’aux traitement des internées de l’hôpital psychiatrique de Malaga à la fin du 20e siècle, en passant par le récit du combat pour la reconnaissance de l’identité indienne et l’émergence des droits des femmes équatoriennes, la description de la peinture de caste péruvienne du 18e siècle ou l’analyse des relations sexuelles extraconjugales (consenties ou non) dans l’Espagne de la Contre-Réforme, cet ouvrage collectif explore les différentes instances de socialisation : la religion, le monde du travail, les pouvoirs politique et judiciaire, l’éducation… pour dresser une mosaïque éclairante de l’histoire de l’identité féminine personnelle et collective dans le monde hispanophone.
Marie-Élisa Franceschini-Toussaint est maître de conférences en langue et littérature espagnoles à l’Université de Lorraine et membre du laboratoire Littératures, imaginaire, sociétés (LIS). Ses recherches portent principalement sur la littérature et le théâtre contemporain en langue espagnole.
Sylvie Hanicot-Bourdier est professeure en langue et littérature espagnoles à l’Université de Lorraine et administratrice provisoire du laboratoire Littératures, imaginaire, sociétés (LIS). Ses travaux portent principalement sur la civilisation espagnole des 18e et 19e siècles.
Margarita Torremocha Hernández est professeure en histoire moderne à l’Université de Valladolid (Espagne) et membre du groupe de recherche Sociedad y conflicto desde la edad moderna a la contemporaneidad. Ses recherches portent principalement sur l’histoire sociale espagnole.
Depuis l’étude de la vie des religieuses espagnoles de l’Époque moderne jusqu’aux traitement des internées de l’hôpital psychiatrique de Malaga à la fin du 20e siècle, en passant par le récit du combat pour la reconnaissance de l’identité indienne et l’émergence des droits des femmes équatoriennes, la description de la peinture de caste péruvienne du 18e siècle ou l’analyse des relations sexuelles extraconjugales (consenties ou non) dans l’Espagne de la Contre-Réforme, cet ouvrage collectif explore les différentes instances de socialisation : la religion, le monde du travail, les pouvoirs politique et judiciaire, l’éducation… pour dresser une mosaïque éclairante de l’histoire de l’identité féminine personnelle et collective dans le monde hispanophone.