
Les ingénieurs, des intermédiaires ?
Transmission et coopération a l’épreuve du terrain (Europe, XVe - XVIIIe siècle)
Ce livre est issu de journées d’étude qui ont renouvelé l’étude sur l’histoire des ingénieurs à l’époque. L’enjeu est d’approfondir la thématique de la transmission, des intermédiations et des savoirs mixtes.
Éditeur : Presses universitaires du Midi
1ére édition
Collection : Histoire et Techniques
Thème : Histoire - géographie - archéologie
Sous la direction de : Blond Stéphane, Hilaire-Perez Liliane, Nègre Valérie, Virol Michèle
Langue : Français
25 illustration(s) N&B
17 illustration(s) couleur
Paru le 09/03/2022
Prix TTC : 23,00€
EAN : 9782810707041
ISBN : 978-2-8107-0704-1
Dimensions : 160 × 240 mm.
Nombre de pages : 220
Ce livre est issu de journées d’étude qui ont renouvelé les approches sur l’histoire des ingénieurs à l’époque moderne en interrogeant les interfaces avec d’autres professions et le rôle des mobilités dans la mise en œuvre de formes d’intelligence collective. L’enjeu est d’approfondir la thématique de la transmission, des intermédiations et des savoirs mixtes, un sujet majeur de l’historiographie récente. Les auteurs soulignent l’importance des hybridations de savoirs à l’épreuve du terrain, sur les chantiers, qu’il convient de considérer comme de véritables « trading zones ». Mais jusqu’à quel point la diversité des savoirs, des statuts, des langues permet-elle une mixité des savoirs ? Dans quelle mesure aussi l’hybridation des savoirs des élites techniciennes ne constitue-t-elle pas un mode de prédation des savoirs vernaculaires et communautaires ? Ce sont autant de questions auxquelles les auteurs s’efforcent de répondre.
Ce livre est issu de journées d’étude qui ont renouvelé les approches sur l’histoire des ingénieurs à l’époque moderne en interrogeant les interfaces avec d’autres professions et le rôle des mobilités dans la mise en œuvre de formes d’intelligence collective. L’enjeu est d’approfondir la thématique de la transmission, des intermédiations et des savoirs mixtes, un sujet majeur de l’historiographie récente. Les auteurs soulignent l’importance des hybridations de savoirs à l’épreuve du terrain, sur les chantiers, qu’il convient de considérer comme de véritables « trading zones ». Mais jusqu’à quel point la diversité des savoirs, des statuts, des langues permet-elle une mixité des savoirs ? Dans quelle mesure aussi l’hybridation des savoirs des élites techniciennes ne constitue-t-elle pas un mode de prédation des savoirs vernaculaires et communautaires ? Ce sont autant de questions auxquelles les auteurs s’efforcent de répondre.