Lacan et les nœuds
Corps vivant, corps jouissant, corps parlant
En psychanalyse, la topologie des nœuds de Lacan constitue une révolution. C’est par le nœud borroméen que Lacan choisit de représenter la structure du sujet, le R du réel, le S du symbolique et le I de l’imaginaire.
Quels en sont les ressorts, et en quoi cette topologie est-elle décisive pour la clinique ? Voilà quelques-uns des axes dépliés dans cet ouvrage.
Éditeur : Presses universitaires de Vincennes
1ére édition
Collection : Arguments Analytiques
Thème : Sciences humaines et sociales
Auteur(s) : Colombel-Plouzennec Anne
Langue : Français
Paru le 24/01/2023
Prix TTC : 21,00€
EAN : 9782379243110
Dimensions : 160x220 mm.
Nombre de pages : 172
Cet ouvrage sillonne le tout dernier enseignement de Lacan, à la lumière de la lecture qu’en propose Jacques-Alain Miller, pour mettre en évidence le tournant décisif qu’il constitue. En effet, Lacan y opère un changement de paradigme fondamental en introduisant les nœuds et leur maniement.
Dès lors, l’inconscient n’est plus abordé à l’aune de l’Autre et de ses articulations, du sujet et de ses symptômes à lire. Il devient serrage singulier des éléments constitutifs de l’expérience humaine autour d’un point d’exclusion interne qui constitue le plus intime de chacun.
En cela, la topologie lacanienne est une révolution, et les nœuds deviennent essentiels d’un point de vue éthique et clinique. Ce livre propose d’examiner la manière dont advient la jouissance du corps vivant à partir de l’impact du langage sur le corps, et les modalités selon lesquelles ce corps parle, c’est-à-dire dont la subjectivité se déploie, toujours unique.
Anne Colombel-Plouzennec est psychanalyste, membre de l’École de la Cause Freudienne et docteure en psychanalyse. Elle signe là son premier ouvrage.
« L’inconscient est structuré comme un langage »
Cet ouvrage sillonne le tout dernier enseignement de Lacan, et la lecture qu’en propose Jacques-Alain Miller, afin d’en tirer un certain nombre de conséquences. En effet, Lacan y opère un changement de paradigme décisif en introduisant les nœuds et leur maniement. L’inconscient n’est plus abordé à l’aune de l’Autre, du sujet (patient) et de ses symptômes à lire, mais comme serrage singulier des éléments constitutifs de l’expérience humaine.
Lacan déploie pas à pas sa topologie pour appréhender l’inconscient dans son acception de nouage des registres de l’expérience humaine que sont le réel, le symbolique et l’imaginaire.