La philosophie de la révolution de Gamal Abdel Nasser
Entre questions nationale, sociale et culturelle, Édition critique bilingue, Égypte 1953 1956
Le 23 juillet 1952, les Officiers libres prennent le pouvoir en Égypte. Entre août 1953 et janvier 1954, Gamal Abdel Nasser signe trois articles de presse intitulés La Philosophie de la Révolution.
Éditeur : Inalco Presses
1ére édition
Collection : Méditerranée(s)
Thème : Sciences humaines et sociales
Auteur(s) : Inowlocki Didier
Langue : Français
9 illustration(s) N&B
Paru le 16/09/2021
Prix TTC : 30,00€
EAN : 9782858313044
ISBN : 978-2-85831-304-4
Dimensions : 160x240 mm.
Nombre de pages : 390
Le 23 juillet 1952, les Officiers libres prennent le pouvoir en Égypte. Entre août 1953 et janvier 1954, Gamal Abdel Nasser signe trois articles de presse intitulés La Philosophie de la Révolution. Il y affirme que le mouvement de l’armée n’est pas un coup d’État mais une révolution.
La première partie du présent ouvrage propose une édition critique en arabe de ces trois articles ainsi qu’une traduction critique originale en français. La seconde partie de l’ouvrage aborde La Philosophie de la Révolution de deux manières. D’une part, la naissance et la fortune de ce texte, devenu très célèbre, sont replacés dans leur contexte historique. D’autre part, le texte est analysé de façon à nourrir une réflexion sur la place de la justice sociale et de la culture au sein des luttes de libération nationales.
L’ensemble ambitionne de participer à la disparition, toujours pas achevée, du legs colonial tant dans les États-nations post-coloniaux que ceux post-impériaux.
Le 23 juillet 1952, Gamal Abdel Nasser signe trois articles de presse intitulés La Philosophie de la Révolution. Il y affirme que le mouvement de l’armée n’est pas un coup d’État mais une révolution.
La première partie du présent ouvrage propose une édition critique en arabe de ces trois articles ainsi qu’une traduction critique originale en français. La seconde partie aborde La Philosophie de la Révolution
L’ensemble ambitionne de participer à la disparition, toujours pas achevée, du legs colonial tant dans les États-nations post-coloniaux que ceux post-impériaux.