
Sea Power ? De Grasse et Vaudreuil 1781-1783
Durer en opérations
Sea Power : deux mots magiques dans la bouche des historiens et stratèges navals. Mais quelle réalité au temps de la marine à voile ? Revenons au réel fait de vagues et de vents, de jours et de nuits qui usent les vaisseaux et les hommes.
Éditeur : Sorbonne université Presses
1ére édition
Collection : Histoire maritime
Thème : Histoire - géographie - archéologie
Auteur(s) : Chaline Olivier, Kowalski Jean-Marie, et Le Bot Pierre
Langue : français
Sortie prévue le 03/04/2025
Prix TTC : 32,00€
EAN : 9791023107890
Dimensions : 160 x 240 mm.
Nombre de pages : 528
Sea Power : deux mots magiques dans la bouche des historiens et stratèges navals. Mais quelle réalité au temps de la marine à voile ? Revenons au réel fait de vagues et de vents, de jours et de nuits qui usent les vaisseaux et les hommes.
Sea Power : deux mots magiques dans la bouche des historiens et stratèges navals. Mais quelle réalité au temps de la marine à voile? Revenons au réel fait de vagues et de vents, de jours et de nuits qui usent les vaisseaux et les hommes. On ne déploie pas impunément à la mer une force navale, surtout si celle-ci est importante et que la campagne dure longtemps. Point n’est besoin des combats pour infliger des avaries aux navires et éprouver les hommes.
Les flots et le vent suffisent… Au temps de la voile, l’armée navale française commandée en 1781-1783 par le comte de Grasse puis le marquis de Vaudreuil offre un cas d’école.
Louis XVI et ses ministres ont envoyé un gros tiers des vaisseaux français de l’autre côté de l’Atlantique pour arracher la victoire sur l’Angleterre, ce qui fut le cas à la Chesapeake et à Yorktown, mais ils ont aussi porté l’outil naval presque jusqu’à son point de rupture. Trop loin, trop fort, trop longtemps?
Sorbonne Université et l’École Navale ont travaillé ensemble pour répondre à cette question toujours d’actualité : comment durer en opérations loin de ses bases sans perdre tout ou partie de son potentiel opérationnel ? L’océan ne se moque-t-il pas de nos prétentions ?