Pratiques du grec dans l’épigraphie de l’Occident : contextes, origines et pratiques culturelles
Actes de la XXIIe rencontre franco-italienne sur l'épigraphie du monde romain (Autun, 22-24 juin 2017)
Pourquoi gravait-on des textes en grec dans les provinces latinophones de l’Empire romain ? L’ouvrage collectif Pratiques du grec dans l’épigraphie de l’Occident répond à cette question en cernant la spécificité d’une documentation qui n’a bénéficié d’aucune synthèse récente.
Dans le cadre de cette enquête, deux aspects essentiels sont traités par les contributeurs : le premier concerne la contextualisation de cette documentation, en insistant sur la nature de ces textes et les agents de leur diffusion ; le second concerne la nature de ce phénomène, le grec pouvant être un indice de la présence d’hellénophones loin de leur patrie ou encore un marqueur de distinction sociale et culturelle. En résumé, le grec épigraphique en Occident peut être abordé à la fois comme une strate particulière au milieu des autres langues attestées épigraphiquement dans un monde majoritairement latinophone et comme une langue impériale, qui témoigne autant de pratiques administratives ou techniques que savantes.
Éditeur : Ausonius éditions
1ére édition
Collection : Scripta Antiqua
Thème : Histoire - géographie - archéologie
Sous la direction de : Chausson François, Hostein Antony, Rossignol Benoît
Auteur(s) : Chausson François (édité par), Hostein Antony (édité par), et Rossignol Benoît (édité par)
Langue : Français
Paru le 15/03/2022
Prix TTC : 25,00€
EAN : 9782356134394
ISBN : 978-2-35613-439-4
Dimensions : 173 x 239 mm.
Nombre de pages : 402
Pourquoi gravait-on des textes en grec dans les provinces latinophones de l’Empire romain ? L’ouvrage collectif Pratiques du grec dans l’épigraphie de l’Occident répond à cette question en cernant la spécificité d’une documentation qui n’a bénéficié d’aucune synthèse récente.
Dans le cadre de cette enquête, deux aspects essentiels sont traités par les contributeurs : le premier concerne la contextualisation de cette documentation, en insistant sur la nature de ces textes et les agents de leur diffusion ; le second concerne la nature de ce phénomène, le grec pouvant être un indice de la présence d’hellénophones loin de leur patrie ou encore un marqueur de distinction sociale et culturelle. En résumé, le grec épigraphique en Occident peut être abordé à la fois comme une strate particulière au milieu des autres langues attestées épigraphiquement dans un monde majoritairement latinophone et comme une langue impériale, qui témoigne autant de pratiques administratives ou techniques que savantes.
Pourquoi gravait-on des textes en grec dans les provinces latinophones de l’Empire romain ? L’ouvrage collectif Pratiques du grec dans l’épigraphie de l’Occident répond à cette question en cernant la spécificité d’une documentation qui n’a bénéficié d’aucune synthèse récente.
Dans le cadre de cette enquête, deux aspects essentiels sont traités par les contributeurs : le premier concerne la contextualisation de cette documentation, en insistant sur la nature de ces textes et les agents de leur diffusion ; le second concerne la nature de ce phénomène, le grec pouvant être un indice de la présence d’hellénophones loin de leur patrie ou encore un marqueur de distinction sociale et culturelle. En résumé, le grec épigraphique en Occident peut être abordé à la fois comme une strate particulière au milieu des autres langues attestées épigraphiquement dans un monde majoritairement latinophone et comme une langue impériale, qui témoigne autant de pratiques administratives ou techniques que savantes.
Dans le cadre de cette enquête, deux aspects essentiels sont traités par les contributeurs : le premier concerne la contextualisation de cette documentation, en insistant sur la nature de ces textes et les agents de leur diffusion ; le second concerne la nature de ce phénomène, le grec pouvant être un indice de la présence d’hellénophones loin de leur patrie ou encore un marqueur de distinction sociale et culturelle. En résumé, le grec épigraphique en Occident peut être abordé à la fois comme une strate particulière au milieu des autres langues attestées épigraphiquement dans un monde majoritairement latinophone et comme une langue impériale, qui témoigne autant de pratiques administratives ou techniques que savantes.