Philosophie de la vie quotidienne
Essais critiques
Par une fine observation des dynamiques de langage, des couples, du conformisme, Jean-Marie Brohm livre une analyse philosophique, parfois piquante, de la vie quotidienne.
Éditeur : Presses universitaires de Paris Nanterre
1ére édition
Collection : Libellus
Thème : Sciences humaines et sociales
Auteur(s) : Brohm Jean-Marie
Langue : Français
Paru le 01/09/2023
Prix TTC : 14,00€
EAN : 9782840165255
Dimensions : 119 x 180 mm.
Nombre de pages : 274
Par une fine observation des dynamiques de langage, des couples, du conformisme, Jean-Marie Brohm livre une analyse philosophique, parfois piquante, de la vie quotidienne.
La vie quotidienne rythme l’existence par ses emplois du temps, ses occupations habituelles, ses routines, ses ritualisations, ses fêtes, mais aussi ses ruptures, ses crises ou ses drames. Ses contenus et ses manifestations varient selon les époques historiques, les sociétés, les cultures, les modes de vie, l’âge et le sexe des individus. Cette étude de philosophie anthropologique – qui s’appuie entre autres sur les recherches de Paul Nizan, Henri Lefebvre, Guy Debord, Alfred Schütz, Georg Simmel, Karel Kosik, Michel de Certeau, Claude Javeau, Georges Balandier, Cornelius Castoriadis, Paul Ricoeur – souligne les fondements ontologiques de la quotidienneté dans le monde intersubjectif de la vie : les états corporels et les passions, les moments de la temporalité (le jour ou la nuit), les lieux (réels ou imaginaires), les situations vécues (ordinaires ou extraordinaires). Elle insiste in fine sur les « catégories » existentielles ou « marqueurs » ontologiques originaires qui caractérisent la condition humaine au quotidien : le langage et ses rapports au réel et à la vérité (ou au mensonge), le conformisme lié à l’imitation (le mimétisme et le grégarisme), la sexualité et le couple (l’amour et ses conflits), la mort et le mourir (la finitude et l’angoisse).
La vie quotidienne rythme l’existence par ses emplois du temps, ses occupations habituelles, ses routines, ses ritualisations, ses fêtes, mais aussi ses ruptures, ses crises ou ses drames. Ses contenus et ses manifestations varient selon les époques historiques, les sociétés, les cultures, les modes de vie, l’âge et le sexe des individus. Cette étude d’anthropologie philosophique – qui s’appuie entre autres sur les recherches de Henri Lefebvre, Paul Nizan, Guy Debord, Alfred Schütz, Georg Simmel, Karel Kosik, Michel de Certeau, Claude Javeau, Georges Balandier, Cornelius Castoriadis, Paul Ricoeur – souligne les fondements ontologiques de la quotidienneté dans le monde intersubjectif de la vie : les états corporels et les passions, les moments de la temporalité (le jour ou la nuit), les lieux (réels ou imaginaires), les situations vécues (ordinaires ou extraordinaires). Elle insiste in fine sur les « catégories » existentielles ou « marqueurs » ontologiques originaires qui caractérisent la condition humaine au quotidien : le langage et ses rapports au réel et à la vérité (ou au mensonge), le conformisme lié à l’imitation (le mimétisme et le grégarisme), la sexualité et le couple (l’amour et ses conflits), la mort et le mourir (la finitude et l’angoisse).