Revue Giono
Ce volume de la Revue Giono rassemble des documents inédits, d’archives judiciaires, de correspondances confidentielles aidant à comprendre comment Jean Giono a pu injustement être considéré à partir de 1942 comme un sympathisant de la collaboration.
Éditeur : Artois Presses Université
1ére édition
Revue : Giono - N° 13/2020
Thème : Lettres - linguistique
Sous la direction de : Morzewski Christian
Langue : Français
54 illustration(s) N&B
8 illustration(s) couleur
Paru le 03/12/2020
Prix TTC : 20,00€
EAN : 9791094078068
ISBN : 979-10-94078-06-8
Dimensions : 140x230 mm.
Nombre de pages : 272
INÉDITS DE JEAN GIONO
• Pages inédites de Deux cavaliers de l’orage : « Les fayards de Gavary »
• Journal inédit de Giono : Carnet de Giono « Janvier 60 Crésus-Platero », présenté par Christian Morzewski
ARCHIVES ET DOCUMENTS
• « Jean Giono 1939-1945 », suivi de « L’amitié Jean Giono-Louis Martin-Bret » et de « Manosque 1944 », extraits du « Journal » inédit de Charles Blavette. Dossier établi et annoté par Jacques Mény
GIONO EN IMAGES
• Carzou & Giono
GIONO ILLUSTRÉ
• Jacques Mény : « Giono le « coeur pris » par l’œuvre de Carzou »
FIGURES
• « Aline Fenoul ou pourquoi Jablines »
ÉTUDES CRITIQUES
• Alain Romestaing : « Giono écopoète ? »
• Édouard Schaelchli : « L’homme dédoublé – l’ambiguïté écologique de Giono »
• David Perrin : « La Baleine Blanche de M. Giono »
• François de la Bretèque : « Autour de la table de Crésus : le Giono des années 60, un Giono apolitique ? »
ANNÉE GIONIENNE 2019-2020
Période la plus controversée de la vie de Jean Giono (engagement pacifiste, suspicions collaborationnistes…), les années 1939-45 font l’objet d’un dossier exceptionnel dans ce volume 13 (2020) de la Revue Giono. Documents d’archives, correspondance et témoignages aident à comprendre l’ambiguïté de l’attitude de l’écrivain pendant ces « années noires ». Des inédits (carnet de travail de l’année 1960, nouvel extrait inédit de Deux cavaliers de l’orage) et un dossier d’études critiques sur la « pensée pré-écologique » de l’auteur de L’Homme qui plantait des arbres complètent le sommaire.