Henri Focillon en son temps
La liberté des formes
Première véritable monographie consacrée à Henri Focillon (Dijon, 1881 – New Haven, 1943), l’ouvrage d’Annnamaria Ducci replace la pensée de l’un des plus grands historiens de l’art français dans le vaste contexte intellectuel de l’entre-deux-guerres, grâce à une relecture intégrale et analytique de ses principaux écrits.
Éditeur : Presses universitaires de Strasbourg
1ére édition
Collection : Historiographie de l'art
Thème : Arts - esthétique
Auteur(s) : Ducci Annamaria
Langue : Français
Traduit de : l'italien par Longo Sara
10 illustration(s) N&B
20 illustration(s) couleur
Paru le 07/10/2021
Prix TTC : 26,00€
EAN : 9791034400799
ISBN : 979-10-344-0079-9
Dimensions : 160x240 mm.
Nombre de pages : 396
Henri Focillon (1881-1943) est l’un des plus grands historiens de l’art français. Bien que son œuvre et son engagement politique aient marqué l’histoire culturelle du XXe siècle, aucune monographie ne lui avait jusqu’ici été consacrée. En replaçant sa vie et son œuvre dans le contexte intellectuel de l’entre-deux-guerres, le présent ouvrage vient combler une lacune importante de l’historiographie française.
S’appuyant sur de nouvelles sources documentaires, largement méconnues et pour partie inédites, Annamaria Ducci propose une relecture critique de l’ensemble des écrits de Focillon. Son ouvrage le plus célèbre, Vie des formes (1934), tout comme ses travaux sur l’art du Moyen Âge occidental, sur la gravure et la peinture moderne, ou encore sur le bouddhisme et l’art japonais, permettent de mesurer l’étendue des renvois culturels impliquant aussi bien le formalisme viennois, la science de l’art allemande, ou encore la critique d’art parisienne « fin de siècle », pour finalement aboutir à cette « phénoménologie de l’art » qui caractérise en propre la démarche d’Henri Focillon.
Professeur d’histoire de l’art à l’Accademia di Belle Arti de Carrare, Annamaria Ducci est actuellement une des meilleures spécialistes de l’œuvre de Focillon, à qui elle a consacré de nombreuses études. Depuis 2002, elle collabore régulièrement avec l’Institut national d’histoire de l’art (INHA). Elle a également traduit et dirigé l’édition italienne de l’Éloge de la main (Elogio della mano, Castelvecchi, 2014).
Le livre est consacré à Henri Focillon (Dijon, 1881 – New Haven, 1943), l’un des plus grands historiens de l’art français. Bien que son œuvre et son engagement politique aient marqué l’histoire culturelle du XXe siècle, aucune monographie ne lui avait jusqu’ici été consacrée. S’appuyant sur de nouvelles sources documentaires, largement méconnues et pour partie inédites, Annamaria Ducci propose une relecture critique de l’ensemble des écrits de Focillon. En replaçant sa vie et son œuvre dans le contexte intellectuel de l’entre-deux-guerres, le présent ouvrage vient combler une lacune majeure.